Personnellement j’en utilise 2 selon la présentation que je veux avoir.
Au départ je faisais appel à pandoc et son export reveal.js depuis du markdown, parfois avec quelques scripts pour adapter mon entrée si besoin.
Mais dernièrement j’avais besoin de présentations plus dynamiques à l’aide de notebooks Jupyter.
Il intègre directement l’export reveal.js, mais on perd alors toute l’interactivité du notebook.
Par contre il existe un plugin, RISE, pour gérer les présentations en live (au format reveal.js toujours) !
L’inconvénient, c’est que ça implique soit de travailler dans Jupyter (ce que je trouve affreux) soit d’utiliser le format JSON des notebooks (pas mieux).
C’est donc là qu’intervient Lucina, un outil que j’ai codé pour compiler des fichiers markdown en un notebook Jupyter.
Au final, ça va au-delà de la simple présentation puisque ça permet facilement de créer un notebook depuis des fichiers markdown alternant texte et code.
Malheureusement, j’ai laissé l’outil un peu en plan depuis la dernière fois que j’ai eu à faire une présentation. Il colle donc pile-poil à mon cas d’utilisation (séparation sur ce que je souhaite, délimitation des diapos) et n’est pas vraiment générique, il faudrait que je retravaille dessus.
Et sinon, Lucine (lucina), autrement dit Junon, c’est la déesse qui lie Mars (markdown) à Jupiter (jupyer). Oui, c’est tiré par les cheveux.